Nouvelle

Kain, l’infatigable, le rassembleur, le toujours festif mais pas toujours sage, est de retour avec un 8e album studio; EL GRANDE TORPEDO.  La bande de Steve Veilleux vient colorer le paysage musical Québécois avec une galette conçue pour Laisser les bons temps rouler aux quatre coins de la belle province. C’est avec le moteur bien huilé que la locomotive démarre sur la chanson titre, EL Grande Torpedo, romance autobiographique aux accents du sud et au refrain tatoueur de cerveau. Le trio ne s’est pas gêné pour puiser dans ses influences premières. De Daniel Lanois à Los Lobos, en passant par Willie Nelson, Kain se paie la traite. Les racines et thèmes de prédilection s’y retrouve (3h30, Un samedi soir Québécois). En plus de faire la fête comme pas uns, Kain touche droit dans les sutures du cœur (Mon vieux, Y’a pu rien qui presse, Je m’essaie fort à pu t’aimer). Après plus de deux décennies à préciser sa trace artistique et à cumuler les succès et les tournées, c’est avec les poches pleines de munitions que Kain entame un nouveau chapitre de son histoire. La fiesta se poursuit et l’urgence de vivre fait des siennes. Kain, c’est une histoire d’amour, un party de chums, un roadtrip en coup de tête, un élan vers la fête.

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