Nouvelle

Artiste 1

Sept jours en mai triomphe

Complices, les membres de Sept jours en mai ? À la suite des deux représentations données au Gesù dans le cadre des FrancoFolies de Montréal, il n'est plus permis d'en douter. Après avoir réussi le pari ambitieux de composer et d'enregistrer un album en sept jours seulement, ils peuvent désormais se féliciter d'avoir monté un spectacle acclamé par le public et la critique, réunissant 14 chansons composées lors d'un périple à la campagne, entremêlées de quelques-uns de leurs succès respectifs. L'assistance se retrouve véritable témoin privilégiée de l'expérience vécue par les sept artistes, au point où « c'est un peu comme si les membres de Sept jours en mai avaient invité tout le monde à se réunir autour de la table à Valcourt, où sont nées les chansons qui ont mené à l'un des meilleurs spectacles de musique francophone qui soient » (Philippe Rezzonico, ICI Radio-Canada) Voilà qui promet pour la suite de la tournée sur les routes du Québec.

Juste le ciel

Un nouvel extrait pour l'été

Avec la saison estivale vient un second extrait de l'album paru au moins de mars dernier. Faisant suite à la festiveAu rythme où vont les chosesJuste le ciel, composée parÉric Goulet et Luc De Larochellière, est sans contredit l'une des pièces les plus rock enregistrées par le groupe de sept artistes.

Les idées les plus audacieuses peuvent se transformer en triomphe […]. C'est un peu comme si les membres de Sept jours en mai avaient invité tout le monde à se réunir autour de la table à Valcourt, où sont nées les chansons qui ont mené à l'un des meilleurs spectacles de musique francophone qui soient.

— Philippe Rezzonico, ICI Radio-Canada

Il y avait dans tout ça de la mise en scène, de la spontanéité, de la bonne franquette, de la rigolade […]. Ça donnait la mesure du plaisir vécu pendant ces sept jours de mai, et prolongé pour quelques soirs ici et là…

— Sylvain Cormier, Le Devoir

Un très beau disque, un très beau spectacle.

— Claude Côté, RDI Matin

Le plaisir a été contagieux.

— Geneviève Bouchard, Le Soleil